Thérèse Harvey (née Belzil)

THÉRESE WALKER. Je viens de voir le message que vous nous avez adressé il y a quatre ans. Si jamais vous désirez toujours reprendre contact avec tante Yolande, n'hésitez pas à me contacter au (514) 941-8151.

J'ai connu la famille Belzil il y a très longtemps. J'ai fait mes études avec Yolande et elle a meme été ma dame d'honneur à mon mariage. J'offre mes sympathies à toute la famille Belzil. J'ai perdu contact avec Yolande et j'aimerais bien avoir de ses nouvelles. Si possible de lui transmettre ce message.

Je suis de tout cœur avec vous au moment où vous allez vous réunir auprès de votre maman… votre grand-maman… votre sœur… pour l’entourer de votre affection, pour célébrer sa vie et prier avec elle et pour elle. Sa dernière fête en famille. ‘’Ma petite maman s’est éteinte tout doucement ce matin…’’ Tes quelques mots, Joann, m’ont rejointe profondément. Ils sont remplis de tendresse, de paix, de sérénité. Et de lumière. Comme un cierge qui s’est éteint après s’être consumé en donnant tout de lui-même pour devenir lumière autour de lui, tante Thérèse s’est éteinte. Nos yeux ne la verront plus. Mais toutes les petites flammes d’amour et de joie qu’elle a allumées continueront à briller en vos coeurs et à éclairer votre route. En VOS cœurs… et aussi en NOS cœurs, à nous tous qui l’avons connue et aimée. Toute la semaine je me sentais très proche d’elle… de vous… par le cœur et la pensée. Et surtout par la prière. Parmi vous, il y a des personnes que je n’ai jamais vues - mes petit-cousins Julianne et Alexandre -, d’autres que je n’ai pas revues depuis longtemps. Mais en devenant ‘’sœur Francine’’, je suis toujours restée profondément ‘’Belzil’’, solidaire de ma famille, des joies et des peines de chacun-e. Tout comme, par maman, je suis restée profondément ‘’Dazé’’. Tante Thérèse a rejoint ceux qu’elle a aimés. Comment ne pas penser que samedi prochain, le 15, elle et papa – les deux jumeaux –seront réunis pour la première fois depuis bien longtemps pour leur anniversaire de naissance. Merci, tante Thérèse, pour ce que vous avez été – de façon différente mais avec votre petite touche si personnelle – pour chacun et chacune de nous. Avec ma plus cordiale sympathie et mon affection. Francine

Toutes mes sympathies à la famille de notre chère disparue. Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent, leurs précieux parfums demeurent toujours. Tout comme ces fleurs éclatantes, ceux que nous aimons ne meurent jamais ; ils demeurent avec nous à jamais, empreints dans nos souvenirs précieux. Elle est partie rejoindre son jumeau. Ils sont réunis pour l'éternité.Son souvenir vivra à jamais dans nos coeurs.